Nous avons déjà abordé la question des espaces confinés ou des espaces confinés dans certains articles précédents (article 1, article 2;).
Nous allons ré-aborder certains sujets qui donneront vie à un vademecum à toujours garder à portée de main ou à « cliquer ».
Lorsqu’un travailleur opère dans un environnement totalement ou partiellement fermé, ce qui empêche ou limite ses mouvements, nous pouvons émettre l’hypothèse qu’il s’agit d’un espace où il existe des facteurs de risque élevés.
Ce n’est qu’une des situations où nous pouvons facilement identifier un environnement confiné. Pour rendre l’idée d’espaces confinés plus compréhensible, voici quelques exemples pratiques :
Il n’y a pas vraiment de figure qui a ce rôle. Nous avons mentionné dans un article précédent le DVR (Risk Assessment Document). C’est-à-dire ce document, régi par le décret législatif 81/08 qui identifie les dangers et les risques découlant de son activité et pour lequel les mesures de prévention qui en découlent doivent être planifiées et adoptées.
Pour les espaces confinés, le même règlement s’applique, avec une référence spécifique aux articles 17 et 28 du décret législatif 81/08. Les personnes qui vont signer le document et qui ont l’obligation sont principalement l’Employeur, le RSPP et le Médecin compétent. Rien n’empêche l’employeur de faire appel à des personnalités professionnelles spécialisées, étant entendu que les trois chiffres mentionnés ci-dessus signeront toujours le document.
Selon le décret législatif 81/08, le ou les travailleurs entrant dans l’environnement confiné doivent répondre aux qualifications décrites dans le règlement. Nous signalons pour plus de commodité les principaux.
Pour plus d’informations, veuillez vous référer à la lecture de la TU (édition mise à jour 1/08 sur le site web ispettorato.gov.it
Le texte consolidé (décret législatif 81/08) fournit l’annexe 2 qui détaille, à titre d’exemple, quels sont les facteurs de risque possibles pour les espaces confinés.
Biohazard
L’évaluation des risques doit toujours être gardée à l’esprit. Une fois les facteurs identifiés, nous nous comporterons en conséquence, en nous référant toujours à la législation en vigueur.
Les principaux appareils utilisés sont les suivants :
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L’aspect formation est très important et obligatoire pour toutes les personnalités qui se retrouvent à travailler dans des espaces confinés ou soupçonnées de pollution.
ainsi que les personnes qui ne sont pas directement impliquées mais qui doivent vérifier les méthodes de travail du personnel.
Le règlement, en particulier dans la section annexe A du décret législatif 81/08, réglemente l’organisation, les exigences des enseignants et les organismes auxquels il convient de se référer.
Les cours d’espaces confinés font partie de ceux de la Formation Spécifique, ou les cours qui incluent une durée minimale de 4, 8 ou 12 heures, en tenant compte des risques liés aux tâches et des dommages éventuels. Ils sont également sujets à des répétitions périodiques.
Pour établir la durée est la classification du risque selon la correspondance ateco et est illustré comme suit:
« Le contenu et la durée sont soumis au résultat de l’évaluation des risques effectuée par l’employeur, sans préjudice de la négociation collective et des procédures convenues au niveau sectoriel et/ou de l’entreprise et doivent donc être compris comme un minimum. La formation et les sujets connexes peuvent être élargis en fonction de la nature et de l’étendue des risques réellement présents dans l’entreprise, augmentant ainsi le nombre d’heures de formation requises. Annexe A, point 4.
Oui, les certificats sont délivrés directement par les organisateurs des cours sur la base du paramètre de présence qui s’élève dans tous les cas à au moins 90% du nombre d’heures à l’exception des cours spécifiques destinés aux superviseurs et aux gestionnaires qui prévoient la réussite du test de vérification.
les certificats pour être valides doivent, en plus d’être délivrés par des organismes certifiés, comporter les éléments communs minimaux suivants (tels que décrits à l’annexe A, point 7, paragraphe 6).
Pour les mises à jour, veuillez vous référer au texte consolidé figurant au point 9 de l’annexe A.