Il semblerait définitif, selon les déclarations du Premier ministre, la date du 31 mars 2022 comme la fin de l’état d’urgence. La pandémie, au-delà des nombreuses échéances, soulève des doutes selon ce que rapportent certaines études de l’Istituto Superiore di Sanità dans notre pays, en fait l’indice des infections montrerait un renversement de tendance.
Le gouvernement, lors des déclarations du 23 février dernier, a déclaré son intention de ne pas prolonger l’état d’urgence actuellement en vigueur.
Mais que se passera-t-il avec le 1er avril 2022? Ces deux années nous ont donné l’occasion d’expérimenter une flexibilité de travail (smart working), dans la mesure du possible, ce qui a accéléré la numérisation dans notre pays.
Au-delà des opinions contradictoires sur le fonctionnement ou non du mode adopté, après le 31 mars, nous nous demandons ce qui va changer pour l’activation du travail à distance?
Il ne sera plus possible d’adopter la procédure simplifiée pour l’activation du travail intelligent. L’article 90, paragraphes 3 et 4, du décret législatif 34/2020 explique que ce n’est que jusqu’à la fin de l’état d’urgence que l’employeur (secteur privé) peut envoyer directement les noms des travailleurs concernés via une application informatique, mise à disposition par le ministère du Travail et des Politiques sociales, sans joindre d’accord avec le travailleur.
En vérité, la loi n° 81/2017 donnait déjà la possibilité d’assumer la flexibilité organisationnelle avec laquelle, d’un commun accord entre les parties (employeur et travailleur) et lors de la signature d’un accord individuel, le travailleur était autorisé à travailler à distance, en maintenant un traitement économique et réglementaire égal à l’égard de leurs collègues qui effectuent le service en mode ordinaire.
En fait, la circulaire n° 48/2017 illustre la manière dont les cas d’accidents et de maladies professionnelles sont également protégés.
Les méthodes de présentation pour le début du mode de travail flexible, sous réserve des modifications réglementaires et en l’absence d’état d’urgence, devraient se faire via une plate-forme informatique mise à disposition sur le portail des services du ministère du Travail et des Politiques sociales. Lors de l’envoi de l’accord individuel, les données suivantes doivent être indiquées:
Nous n’avons qu’à attendre la confirmation et / ou les nouvelles du gouvernement. Il peut y avoir des conditions préalables à un changement réglementaire sur l’exécution du travail, dans la mesure du possible, dans le secteur privé.